Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
4 mars 2014 2 04 /03 /mars /2014 06:10

François Bouchet n'a pas passé son bac en 1944, il est parti manier l'explosif et faire sauter des chars nazis. Beaucoup plus gonflé, et plus drôle. C'est ainsi qu'il raconte cette belle épopée, avec une façon simple et détachée. C'est la marque des hommes d'action qui sont aussi des gens sans manière et aussi des poètes. C'est lui qui appelle cette saison là " un été brûlant".

Voici son témoignage en quelques épisodes d'autant plus rares qu'il n'a jamais dit à personne ce que vous allez entendre.

Partager cet article
Repost0
3 mars 2014 1 03 /03 /mars /2014 06:42

François Bouchet n'a pas passé son bac en 1944, il est parti manier l'explosif et faire sauter des chars nazis. Beaucoup plus gonflé, et plus drôle. C'est ainsi qu'il raconte cette belle épopée, avec une façon simple et détachée. C'est la marque des hommes d'action qui sont aussi des gens sans manière et aussi des poètes. C'est lui qui appelle cette saison là " un été brûlant".

Voici son témoignage en quelques épisodes d'autant plus rares qu'il n'a jamais dit à personne ce que vous allez entendre.

Partager cet article
Repost0
2 mars 2014 7 02 /03 /mars /2014 06:34

Lundi débute ici une série de six entretiens rares. François Bouchet dont le père est à Buchenwald ( déporté pour son activité intense dans la Résistance) sèche le lycée. Il a mieux à faire : tirer au bazooka sur les colonnes nazies qui remontent vers la Normandie.

Ils sont les premiers à entrer dans Poitiers

Ils sont les premiers à entrer dans Poitiers

Partager cet article
Repost0
2 mars 2014 7 02 /03 /mars /2014 06:10

Vous n'avez pas le temps de lire, prenez celui de rêver

Nous allons nos vie brutales,

tu le sais bien, désorientés

nous cherchons autre chose

avec une infinie tendresse

et une pudeur extrême

(Balthazar Forcalquier)

La phrase romanesque
Partager cet article
Repost0
1 mars 2014 6 01 /03 /mars /2014 16:01
Partager cet article
Repost0
1 mars 2014 6 01 /03 /mars /2014 07:01

Adèle, à la fin de ses rêves,

elle voit passer le générique

(Balthazar Forcalquier)

Partager cet article
Repost0
28 février 2014 5 28 /02 /février /2014 06:26
Partager cet article
Repost0
27 février 2014 4 27 /02 /février /2014 16:33
LUNDI LE TEMOIGNAGE DE F. BOUCHET

Lundi débute ici une série d'entretiens rares. François Bouchet (ici au centre) raconte ce qu'il n'a jamais évoqué : sa vie dans le maquis de la Vienne.

Il n'a pas le bac mais s'en va poser des bombes sous les camions nazis.

Partager cet article
Repost0
27 février 2014 4 27 /02 /février /2014 10:52

Evidemment la comparaison avec Balzac est ironique ! Je ne suis pas fou ! Pas encore...

Dans la "NR"
Partager cet article
Repost0
27 février 2014 4 27 /02 /février /2014 06:19
En attendant la sortie, en fin mars prochain, des "Chroniques Noires à Thouars" aux Editions Geste, livre qui regroupera cinq affaires anarchos-policières voici une galerie de personnages, croisés au fil de ces récits. Personnages humbles ou arrogants.

Aujourd'hui : Mathilde

 

Mathilde, ah... Mathilde ! C'est la femme du commissaire, un con. Je dis un con pour faire simple, mais il est en plus tordu, pervers, un peu répugnant. Un beau personnage de roman en somme.

Or il se trouve que l'inspecteur Legrandu, ce moine-soldat, en pincera pour la belle. Il s'en faudra d'un souffle... Un souffle parfumé à la framboise, car l'haleine de Mathilde a des arômes de fruit rouge. Mais n'en disons pas trop...

C'est l'une des rares qui, sur les dessins, a un nez et des yeux ! Quel charme!

Extraits ( dans Panique à la maison Poulaga) :

" Même si la femme du commissaire était svelte et élégante, un joli visage triste, avec un long cou sublime, délicieusement dégagé par une coupe à la garçonne, son âge commençait à marquer le bord de ses yeux et de ses lèvres. Elle avait perdu cette fraîcheur qui enivre les couillons sur le retour, et qui sont incapables de voir la grâce languide des femmes mûres. (...) Legrandu est amoureux, c’est la première fois de sa vie. Il se sent tout bizarre. Il a même écouté ce matin, le chant d’une grive musicienne. Il avait laissé la fenêtre de son studio ouverte et se prit à aimer tendrement les trilles mélodieuses. Il se dit que c’était la première fois qu’il prêtait attention à ce chant. D’ordinaire, avant même de poser le pied par terre, sur la peau de chèvre qui faisait office de descente de lit, il allumait la radio, immuablement réglée sur RMC. Mais, bizarrement, pas ce matin.

Pour la première fois depuis longtemps il mit du miel dans son café. Un vieux miel offert, lors d’un lointain Noël, par son parrain. Et, rêveur, il ajouta à la liste de ses prochaines courses : confiture de framboise « ainsi je me souviendrais mieux de son haleine. "

Chroniques Noires à Thouars (14)
Chroniques Noires à Thouars (14)
Partager cet article
Repost0